Librairie Orange bleue

Comment cultiver son jardin

Plantes qui parlent, potager bio, initiation à la permaculture… Au premier étage de l’Orange bleue on cultive son jardin !

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C’est mercredi jour des petits !

Découvrez notre nouvelle sélection de livres d’images !

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Le musée des émotions

Un beau livre documentaire pour sensibiliser les enfants à l’art par le biais d’une thématique universelle : les émotions. N’attendez plus : entrez au Musée des émotions et baladez-vous au fil des pages. Vous vous amuserez d’abord à deviner les sentiments des personnages peints ou sculptés puis vous lirez l’histoire du tableau pour en comprendre les raisons. Tout cela en (re)découvrant 40 chefs-d’oeuvre de l’histoire de l’art datant de toutes les époques. Chaque oeuvre est décrite de manière simple et poétique, de façon à ce que l’enfant en regarde tous les détails et ait le sentiment d’y être, puis un court texte vient interroger la technique de l’artiste et ce qu’elle permet de faire ressentir.
Une introduction sensible et ludique à l’art qui ravira aussi bien les petits que les grands.

Patchou l’alpaga du Pérou

Patchou l’alpaga a la plus majestueuse des toisons. Fier, il refuse qu’on le tonde. Mais sa laine devient peu à peu une obsession qui lui attire bien des ennuis. Débute alors un formidable voyage au coeur du Pérou, véritable quête au-delà du monde des apparences…

Où finit le monde ?

Et si le monde finissait au bout de cette prairie ? Ou bien après cette forêt ? Zip, Trik et Flip sont bien décidés à le découvrir, et en plus, ils ont fait le plein de cacahuètes pour le voyage !

C’est mon arbre

J’adore cet arbre. C’est MON arbre, dit le bel écureuil roux. J’adore manger MES pommes de pin à l’ombre de MON arbre. C’est MON arbre et ce sont MES pommes de pin ! Une histoire amusante sur l’obsession de la propriété.

Si les poètes étaient moins bêtes

Vian aimait provoquer ! Pour le centenaire de sa naissance, voici qu’il provoque les poètes et se moque donc de lui-même… tout en nous donnant une grande leçon d’imagination. Boris Vian demande aux poètes d’arrêter d’écrire sur leurs petits malheurs et les invite à fabriquer en vrai un monde enfin merveilleux ! Ce texte fantasque nous embarque dans un univers où les poètes feraient le bonheur autour d’eux en inventant des mirliflûtes, des plumuches, des rara curules…

Mon premier album de poèmes du monde

Parce que la poésie est le plus beau moyen d’être au monde, voici une première invitation à la curiosité culturelle, au-delà des frontières et des barrières, en même temps qu’une initiation à l’oreille poétique. Les jeunes enfants vont aimer découvrir d’autres manières de parler de la mer qui boit le soleil, des mots bleus du vent ou du phoque que le chasseur inuit épargne parce que l’animal jouit du soleil tout comme lui. Une perception sensible du monde à laquelle nous convient les poèmes et les images. Le voyage est en effet total, du Maroc à la Chine, de la Turquie à Cuba pour les mots, et pour les images, la tour de Babel des illustrateurs sollicités par l’éditeur aux quatre coins du monde. Un beau cadeau comme un premier pas en poésie… et sur la planète multiculturelle.

Bienvenue en poésie

Bienvenue en poésie ! C’est ce que ce petit format doux et élégant souhaite à chaque nouvel enfant qui vient au monde. Parmi les 7 milliards de Terriens qui accueillent ce nouveau-né, certains sont des poètes, et ils savent mieux que quiconque tresser un berceau de mots. Certains évoquent le rapport à la nature, aux saisons, d’autres aux grands-parents, aux autres enfants nés le même jour… Et parce que chaque naissance est une fête, chaque poème s’accompagne ici d’une image d’Aurélia Fronty, qui renouvelle pour l’occasion son style graphique, entre dentelle naturelle et art populaire. Un beau livre-cadeau à offrir à la naissance d’un enfant, pour changer de la layette et du doudou, ou pour l’accompagner d’un premier cadeau de mots.

Je veux un super pouvoir !

Voler ? Déjà pris ! Courir très vite ? Aussi ! Beaucoup d’animaux ont des super-pouvoirs, alors que reste-t-il à Lapin ?

Le rêve de Natsumé

Natsumé est un petit garçon japonais qui vit seul avec sa grand-mère à la campagne. Par la fenêtre de sa chambre, il peut voir un jeune cerisier qu’elle a planté à sa naissance, son « presque frère ». Il aime sa grand-mère, mais il ressent durement l’absence de ses parents disparus lors du tsunami de Fukushima. L’amour qu’il porte à la nature, ici dans toute la splendeur du printemps, adoucit sa peine.  Quand, au matin, son cerisier est en fleurs, c’est pour lui un message d’amour de ses parents « qui sont là, il en est sûr, et il se sent soudain le plus fort de tous les petits garçons du monde ».

Moi j’ai peur du loup

« Moi, j’ai peur du loup… – Ah oui ? Pourquoi ?  » Mais oui, pourquoi avoir peur du loup ? Voyons s’il est aussi effrayant qu’on le dit…

Les bêtes de la campagne

192 pages de bonheur pour apprendre en s’amusant ! Une mine d’informations avec la reprise en compilation de sept titres de la collection des « Sciences naturelles de Tatsu Nagata ». Dans ces albums documentaires accessibles dès la maternelle, le professeur Tatsu Nagata nous livre avec beaucoup d’humour les secrets des animaux. Au sommaire : le cheval, la taupe, le lapin, le hérisson, le cochon, l’escargot et la vache. Un modèle de documentaire mêlant simplicité, humour et graphisme.

Zoom sur les romans graphiques !

Serial killers, histoire, classiques, voyages, actualités … Les romans graphiques nous en font voir de toutes les couleurs ! Découvrez notre sélection du jour !

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Les morts ont tous la même peau

« Je pensais à Sheila, à la cabine téléphonique, et aux coups de matraque que les nègres recevaient sur la gueule pendant la révolte de Détroit, et je ricanai à voix haute. Le choix était fait. Entre donner les coups et les recevoir, je préférais les donner. »

Skateboard Chronicles

Nell, jeune skateur endosse des responsabilités d’adultes. Lorsque sa mère est envoyée en cure de désintoxication, et que la cohabitation avec sa famille d’accueil se révèle impossible, il part seul avec sa petite sœur, Mia. Ils s’installent dans un vieux parc d’attractions à l’abandon…

J’irai cracher sur vos tombes

« J’avais toutes les filles les unes après les autres, mais c’était trop simple, un peu écoeurant. Elles faisaient ça presque aussi facilement qu’on se lave les dents, par hygiène. » Le chef d’oeuvre de Boris Vian mis en images.

Ted Bundy

Florida State Prison, janvier 1989. Ted Bundy est devenu le tueur en série le plus célèbre des Etats-Unis. Celui que les médias ont surnommé « Lady Killer » a finalement admis, après plus d’une décennie à nier les faits, avoir enlevé, violé et assassiné plus d’une trentaine de jeunes femmes entre 1973 et 1978, à travers sept Etats différents. Promis à la chaise électrique, il profite aujourd’hui de ses derniers instants pour s’entretenir avec Etienne Jallieu. Ensemble, ils vont dialoguer et tenter de déceler ce qui a pu amener Bundy, un homme en apparence si ordinaire, à devenir l’un des plus terribles meurtriers de l’Histoire. Et s’il n’est pas un monstre, comment savoir si ce qui s’est déclenché en lui n’est pas présent chez chacun d’entre nous ?

Michel Fourniret

Juin 2003, dans les Ardennes. Soupçonné d’avoir séquestré une jeune fille, Michel Fourniret est arrêté par la police belge. Après enquête et aveux du prévenu, ce seront en réalité sept meurtres, des jeunes femmes enlevées, violées et tuées selon le même mode opératoire, qui seront mis au clair. Aux origines de ces seize ans de crimes, une correspondance entre Fourniret et une femme, Monique Olivier — qui deviendra son épouse — et la signature d’un pacte monstrueux s’il acceptait de tuer les ex-amants qui lui ont fait du mal, elle s’engageait à lui fournir de jeunes vierges… De nos jours Etienne Jallieu, écrivain et essayiste spécialiste en criminologie, rend visite à chacun des époux Fourniret pour tenter de comprendre. Comment de telles atrocités ont-elles pu être commises ? Quand tout ceci a-t-il commencé ? Et surtout : qui était le véritable cerveau de l’affaire ?

Révolution

Premier volume de « Révolution », une trilogie sur la Révolution française, « Liberté » ressuscite 1789 en se promenant dans tous les étages de la société. Une fresque grandiose, brassant de multiples personnages et qui totalisera près de 1000 pages. Un livre-événement, par les auteurs d' »Eloi ».

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La bombe

L’incroyable histoire vraie de l’arme la plus effroyable jamais créée. Le 6 août 1945, une bombe atomique ravage Hiroshima. Des dizaines de milliers de personnes sont instantanément pulvérisées. Et le monde entier découvre, horrifié, l’existence de la bombe atomique, première arme de destruction massive. Mais dans quel contexte, comment et par qui cet instrument de mort a-t-il pu être développé ? Véritable saga de 450 pages, ce roman graphique raconte les coulisses et les personnages-clés de cet événement historique qui, en 2020, commémore son 75e anniversaire.
Des mines d’uranium du Katanga jusqu’au Japon, en passant par l’Allemagne, la Norvège, l’URSS et le Nouveau-Mexique, c’est une succession de faits incroyables mais vrais qui se sont ainsi déroulés. Tous ceux-ci sont ici racontés à hauteur d’hommes : qu’ils soient décideurs politiques (Roosevelt, Truman), scientifiques passés à la postérité (Einstein, Oppenheimer, Fermi…) ou acteurs majeurs demeurés méconnus, tels Leó Szilàrd (le personnage principal de cet album, un scientifique qui remua ciel et terre pour que les USA développent la bombe, puis fit l’impossible pour qu’ils ne l’utilisent jamais), Ebb Cade (un ouvrier afro-américain auquel on injecta à son insu du plutonium pour en étudier l’effet sur la santé) ou Leslie Groves (le général qui dirigea d’une main de fer le Projet Manhattan) – sans oublier, bien sûr, les habitants et la ville d’Hiroshima, reconstituée dans La Bombe de manière authentique. Extrêmement documenté mais avant tout passionnant, comparable en cela à la série TV Chernobyl, cet ouvrage s’impose déjà comme le livre de référence sur l’histoire de la bombe atomique.

Quatorze juillet

Quand Thierry, un jeune gendarme, rencontre Vincent, un peintre qui vient de perde sa femme dans un attentat, il décide de les prendre, sa fille Lisa et lui, sous son aile. Mais peut-on sauver les gens malgré eux ? Et dans quelle mesure est-il forcément juste de vouloir jouer les justiciers ? Dans ce polar contemporain, Bastien Vivès et Martin Quenehen dressent le portrait de personnages déboussolés qui cherchent à donner un sens à leur existence dans une France traumatisée, à la fois paranoïaque et divisée.

Le voisin

Et si votre voisin n’était pas le jeune homme normal que vous croyiez ? Si vous découvriez que ce voisin est en fait un vrai super-héros ? Et qu’il vous demandait de l’aider en permanence ? C’est ce qui arrive à José Ramon, banal étudiant en droit, timide, maladroit et obsédé par son concours, quand il comprend que son voisin Javier est en réalité « Titan », l’extraordinaire justicier ; et qu’un super-héros n’est pas moins sujet aux tracas du quotidien et aux difficultés de la vie privée qu’un autre… Il est alors bien pratique d’avoir un bon voisin ! José et Javier entament dès lors une relation qui passera du comique au dramatique, pour le meilleur et pour le pire.

Payer la terre

En 2015, Joe Sacco s’est rendu par deux fois dans les territoires du Nord-Ouest du Canada, au-dessous de l’Arctique. Il est allé à la rencontre des Denes, un peuple autochtone. L’auteur nous raconte l’histoire de ce peuple, ses traditions, restées intactes pour certaines, les premières rencontres avec les Anglais. Pendant longtemps, les peuples indigènes du Grand Nord, vivant sur des terres non propices à la colonisation agricole, restèrent livrés à eux-mêmes, jusqu’à ce que la découverte de pétrole et d’or incite le gouvernement à officialiser son autorité sur eux, comme sur leurs terres. A cette période, les autorités s’appropriaient les territoires, non plus par les massacres, mais cliniquement, méthodiquement, et de façon administrative – grâce à des traités. En lisant ceux-ci, on n’échappe pas à l’impression que les « Indiens » ont donné la terre où ils vivaient en échange de la promesse d’une annuité de quelques dollars, de quelques outils et de médailles pour ceux qui se disaient leurs chefs. Aujourd’hui, la fracturation hydraulique ajoute la pollution à la spoliation initiale.

Miss Davis

Née en 1944 à Birmingham en Alabama, où sévissent la ségrégation raciale et les attaques du Ku Klux Klan, Angela adhère au Che-Lumumba Club en 1968 puis au Black Panther Party. La chasse aux communistes ainsi que le programme Cointelpro du FBI ne laissent pas de répit aux activistes afro-américains. Tous les groupes d’opposition sont infiltrés et surveillés. En 1970, suite à l’attaque du tribunal du comté de Marin, Angela Davis deviendra « l’ennemie public numéro un » et sera emprisonnée pour être condamnée à mort.
Le « comité national uni pour la libération de Angela Davis » est alors créé. Le monde entier connaîtra son histoire et demandera sa libération.

Mishima

 » Ma mort est mon chef-d’œuvre  » Pour beaucoup, Yukio Mishima reste un mystère. Ecrivain de génie, épris de tradition et de modernité, basculant de la création à la destruction, esthète de toutes les ambivalences et de toutes les controverses, il livre un regard sans précédent dans le paysage culturel japonais et mondial. Celle d’un homme qui a incarné à la fois toute la grandeur, les échecs et les contradictions du Japon de l’après-guerre. Un personnage fascinant qui achèvera son œuvre de façon spectaculaire à travers un ultime acte : la mise en scène de sa propre mort. Avec Mishima, Patrick Weber raconte la vie de cet artiste flamboyant, s’inspirant en partie de son célèbre livre Confessions d’un Masque. Faisant appel au dessin tout en finesse de Li-An, il livre un roman graphique passionnant et subtil qui permet d’entrevoir une période cruciale de l’histoire du Japon contemporain.